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En octobre 2024, une baisse des taux d'intérêt semble très probable, notamment en raison de la diminution des pressions inflationnistes en Europe. La Banque centrale européenne (BCE) avait déjà baissé son taux directeur en septembre 2024, le réduisant de 3,75 % à 3,5 %. Cela faisait suite à une inflation qui est descendue sous les 2 % en France pour la première fois en trois ans, signalant une stabilisation économique. La prochaine réunion de la BCE, prévue le 17 octobre 2024, pourrait voir de nouvelles baisses de taux si cette tendance se confirme. Cette détente monétaire vise à soutenir la croissance économique, notamment dans un contexte de faible croissance et après une longue période de politique monétaire restrictive. Les investisseurs immobiliers, en particulier, devraient bénéficier de ces taux plus bas, rendant le crédit immobilier plus accessible et stimulant ainsi la demande sur le marché.
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La saison actuelle est cruciale pour maintenir la vigueur de votre gazon tout au long de l'année.
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Après avoir amorcé une première baisse des taux directeurs le 6 juin, mettant fin à une longue période de resserrement monétaire, la Banque centrale européenne (BCE) a franchi une nouvelle étape le 12 septembre. Le Conseil des gouverneurs, à l’unanimité, a décidé de réduire une nouvelle fois les taux de 25 points de base, portant ainsi le taux de la facilité de dépôt à 3,5 %. Cette décision s'appuie sur la baisse continue de l'inflation, que la BCE prévoit de ramener à 2 % d'ici la fin de l'année prochaine. Cette baisse vise à encourager les investissements et la consommation en rendant les prêts plus accessibles pour les entreprises et les ménages. Cependant, la BCE adopte une approche prudente pour l'avenir, précisant que ses prochaines décisions dépendront de l'évolution de l'économie, en particulier en termes de croissance et d'inflation.
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Outre la loi de l'offre et de la demande, certains facteurs liés à l'environnement du logement influencent également le prix d'un bien immobilier. Parmi ceux-ci : - la proximité des structures éducatives (école primaire, collège, lycée), - la disponibilité des transports en commun, notamment les gares. Ces critères, prisés par les acheteurs, affectent la demande et, par conséquent, le prix de vente des biens immobiliers. Mais ce ne sont pas les seuls éléments en jeu. Un autre facteur, moins connu, peut augmenter le prix d'un logement jusqu'à 17 % par rapport à un bien similaire, selon l'Observatoire annuel 2021 de l'immobilier en France - Wüest Partner. Ce facteur, particulièrement important pour les familles cherchant un logement dans une ville dense, est la proximité d'un parc, des espaces verts, ou d'un cadre de vie agréable.
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A compter du 15 mai, les aides ne seront plus réservées aux rénovations globales. Objectif: relancer les travaux d'amélioration de l'habitat sans contraindre les propriétaires à tout réaliser en une seule fois. Maprimerénov évolue ce 15 mai. Face la dégringolade des demandes pour des aides à la rénovation depuis le début de l'année (c'est-à-dire à partir du moment où l'État a décidé de limiter les aides aux seules rénovations globales), le gouvernement a choisi de rétropédaler et d’ouvrir de nouveau le dispositif aux travaux de moindre ampleur. Il faut dire qu’au premier trimestre le nombre de demandes déposées à l'Anah, l'organisme qui distribue cette aide, s'est effondré de 65% sur un an. En ne proposant plus le dispositif que pour des rénovations d’ampleur, le gouvernement croyait encourager les propriétaires à se lancer dans des travaux d'ampleur. Sauf qu'il a au contraire refroidi les plus frileux. Et mieux vaut faire une petite rénovation, par exemple juste l’isolation ou le remplacement du système de chauffage, que rien du tout. Avis également aux propriétaires de passoires thermiques, les logements F ou G: le gouvernement avait spécifiquement sorti du financement aux gestes simples ces logements pour contraindre leurs propriétaires à de la rénovation globale. Ils pourront eux aussi de nouveau bénéficier de Maprimerénov. #propriétaire #2024 #savignyletemple #immo #immobilierfrance #informations #conseilsimmobiliers
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Les Français craignent de jeter de l’argent par les fenêtres en lançant des travaux de rénovation énergétique. Effy, spécialisé dans la rénovation énergétique, lance un dispositif nommé Economee pour mesurer l’efficacité des travaux de rénovation énergétique. «Economee mesure le gain en énergie et en euros que réalise une personne après travaux», explique Frédéric Utzmann, le président de la société. Pour bénéficier de cette analyse de la consommation d’énergie, il faut avoir réalisé des travaux financés par les Certificats d’économie d’énergie, une aide financée par les fournisseurs d’énergie, être équipé d’un compteur Linky pour pouvoir partager ses données de consommation, et résider dans une maison individuelle ou un appartement à chauffage individuel. Le programme est ouvert à tous les particuliers propriétaires sans condition de revenus et toutes énergies de chauffage confondues. Les travaux les plus rentables de manière générale sont l’isolation des combles perdus, un processus qui ne coûte pas très cher mais qui a un impact fort sur les pertes d’énergie. Les ménages qui remplacent leur chaudière à fioul par une pompe à chaleur, un geste plus coûteux, réalisent plus de 1000 euros par an d’économie. Une fois le gain connu, l’objectif est donc d’amplifier les économies d’énergie permises grâce à des actions de sobriété énergétique. Effy propose aux participants d’être équipés gratuitement d’un système de pilotage du chauffage pièce par pièce avec un thermostat connecté, afin de suivre plus finement leur consommation d’énergie et de maximiser ses économies d’énergie en ayant la main sur la température choisie.
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Face à la crise de l’immobilier et à l’effondrement des ventes, les notaires font « le dos rond », mais jusqu’à quand ? Avec un chiffre d’affaires en baisse d’au moins 20%, les notaires à Lyon, comme ailleurs, ont « fait le dos rond » en 2023, mais craignent de devoir couper dans leurs effectifs si l’immobilier ne repart pas l’an prochain. #immobilierfrance #informations #SavignyLeTemple #gilimmo #immo #propriétaire #souscompromis #conseils
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La révision de la directive européenne dédiée à la performance énergétique des bâtiments arrive en fin de parcours. Jeudi, le Conseil et les députés sont parvenus à un accord. D’ici 2030, l’Europe devra réduire de 16% la consommation d’énergie primaire du parc résidentiel et aussi rénover 16% de son parc non résidentiel. Moins ambitieuse que des versions précédentes, plus réaliste donc. Mais la future directive européenne entend néanmoins doper la rénovation énergétique des bâtiments du Vieux continent. Les ambitions sont d’abord rehaussées dans le neuf. Tout ce qui sort de terre à partir de 2030, devra être à zéro émission de gaz à effet de serre. Et puisque l’État a un devoir d’exemplarité dans cette transition énergétique, l’échéance est ramenée à 2028 pour « les nouveaux bâtiments occupés ou détenus par les autorités publiques ». #immo #gilimmo #immobilierfrance #SavignyLeTemple #informations
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Le prêt à taux zéro est prolongé jusqu’en 2027 et élargi pour bénéficier à de nombreux foyers supplémentaires. Il ne sera en revanche plus possible d’en profiter pour l’achat d’une maison neuve. Il était censé disparaître à la fin de l’année… Certains observateurs se réjouissaient même de l’annonce de sa mort, estimant qu’il ne faisait que maintenir, de façon artificielle, les prix du marché à des taux élevés. Erreur : avec la crise actuelle de l’immobilier, le prêt à taux zéro (PTZ) confirme sa nouvelle utilité aux yeux du gouvernement. Ce dernier y voit notamment une solution pour permettre à de nombreux primo-accédants de revenir sur le marché de l’achat immobilier. Le dispositif révisé est prolongé jusqu’en 2027. Les modifications entreront en vigueur à partir du 1er janvier 2024. Élargi à quelque 6 millions de foyers supplémentaires, le PTZ est aussi un peu plus « généreux ». Son montant pourra en effet atteindre, au maximum, le seuil symbolique de 100 000 €. Il faut toutefois noter que le gouvernement a confirmé son souhait d’exclure du PTZ toute opération de construction de maison neuve. Ce qui revient, de facto, à exclure près d’un tiers des anciens bénéficiaires du PTZ. Au final, l’État devrait ainsi plutôt faire des économies avec le nouveau dispositif ! S’il ouvre le dispositif à plus de candidats, l’État resserre en revanche le type d’opération réalisable. Le PTZ n’est en effet plus accordé pour l’achat d’une maison neuve, en zone tendue comme détendue. Le gouvernement indique vouloir réduire l’artificialisation des sols en mettant fin aux aides à l’acquisition de maisons neuves. Concrètement, le prêt à taux zéro est aujourd’hui réservé à l’acquisition d’un logement neuf collectif en zone tendue (A, B1 et B2) – agglomération parisienne, grandes agglomérations et Côte d’Azur – ou d’un logement ancien (collectif ou individuel) avec travaux en zone détendue (C).
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Pour accélérer la rénovation énergétique des logements sociaux, l'Etat expérimente depuis cette année un dispositif dit de "seconde vie", demande de longue date des bailleurs sociaux réunis en congrès à Nantes, qui permet de rénover de vieux bâtiments avec les exigences du neuf. Pourquoi "seconde vie" ? Il y a des bâtiments qui ont été construits dans les années 1950, 1960, 1970 ou 1980, donc qui sont assez anciens aujourd'hui, et qui nécessitent de gros travaux qui permettent de faire repartir le bâti pour une durée de vie de 60, 70 ans. Est-ce que cela fonctionne ? Ce dispositif était réclamé depuis plusieurs années par le monde HLM, qui s'est félicité de son adoption. Mais il concerne in fine très peu de bâtiments, déplorent les bailleurs. Il suffit en effet qu'un seul logement affiche une classe énergétique meilleure que F pour que l'opération devienne inéligible. Les bailleurs sociaux n'échappent, en effet, pas au calendrier fixé par la loi, qui prévoit d'interdire progressivement la location des logements les plus énergivores: ceux étiquetés G à partir de 2025, puis les F en 2028 et les E en 2034.
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Les punaises de lit ont envahi le quotidien des Français. Et s'en prémunir n'est pas chose aisée. Les punaises de lit, réapparues depuis les années 1990, ont infesté plus d'un foyer sur dix en France ces dernières années et ce nonobstant le niveau de revenus. Ces petits insectes de la taille d'un pépin de pomme, qui se nourrissent la nuit, principalement de sang humain, se cachent le plus souvent dans les matelas et les sommiers. Une angoisse pour les locataires qui vont s'installer dans un nouveau logement. Est-il possible de s'assurer qu'un logement n'est pas infecté avant de le louer ? 1. Inspectez les matelas 2. Examinez les petits recoins 3. Posez la question Propriétaires, attention, vous êtes responsables ! Si un locataire trouvait des punaises de lit chez lui, il pouvait se retourner vers son propriétaire. La loi Elan du 23 novembre 2018 insère la notion d'absence de nuisibles dans le concept de logement décent. Ainsi, un propriétaire a l'obligation de fournir un logement décent à son locataire, soit un logement sans punaises de lit. Donc si un locataire découvre ces insectes dans son logement, le nettoyage sera à la charge du propriétaire.